قالَ النِّبِيُّ صلّى الله عليه وآله وسلم :
مَنْ باتَ وَفِي قَلْبِهِ غِشٌّ لاِخيهِ الْمُسْلِمِ باتَ في سَخَطِ اللهِ وَأَصْبَحَ كَذلِكَ حَتّى يَتُوبَ
سفينة البحار / 2 / 318
Le Saint Prophète, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Celui qui fait du commerce avec son frère en religion et a pour unique intention le fait de tricher dans ce commerce met Dieu en colère et doit faire pénitence s’il veut que Dieu lui
pardonne.
Safînat ul-Bihâr/vol.2/p.318
قالَ النِّبِيُّ صلّى الله عليه وآله وسلم :
وَمَنْ غَشَّ أَخاهُ الْمُسْلِمَ نَزَعَ اللهُ بَرَكَةَ رَزْقِهِ وَأَفْسَدَ عَلَيْهِ مَعيشَتَهُ وَوَكَلَهُ إِلى نَفْسِهِ
وسائل الشيعة / 17 / 283
Le Saint Prophète, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Si une personne triche dans le commerce qu’elle a avec son frère en religion, Dieu supprime l’abondance de son pain quotidien, endommage sa vie et l’abandonne à elle-même.
Wasâil ul-Shîa/vol.17/p.283
قالَ النِّبِيُّ صلّى الله عليه وآله وسلم :
مَنْ غَشَّ مُسْلِماً في شِراء أوْ بَيْع فَلَيْسَ مِنّا وَيُحْشَرُ يَوْمَ القِيامَةِ مَعَ اليَهُودِ لاِنَّهُمْ أَغَشُّ الْخَلقِ لِلْمُسْلِمينَ.
بحار الانوار / 103 / 80
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Celui qui trompe un musulman dans une vente ou un achat n’appartient pas à notre communauté et au Jour du Juge-ment est ressuscité avec les juifs, car les juifs sont les plus grands des
escrocs désirant escroquer les musulmans.
Bihâr ul-Anwâr/vol.103/p.80
قالَ الامامُ الصّادِقُ عليه السّلام :
نَهَى النَّبِيُّ صلّى الله عليه وآله وسلم أنْ يُشابَ اللَّبَنُ بِالماءِ لِلْبَيْعِ
التهذيب / 7 / 13
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Le Prophète a interdit de mêler de l’eau au lait et de le vendre ainsi.
Al-Tahdîb/vol.7/p.13
قالَ الامامُ الصّادِقُ عليه السّلام :
لَيْسَ مِنّا مَنْ غَشَّنا
فروع الكافي / 5 / 160
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Celui qui nous (c’est-à-dire : les musulmans) trompe (dans le commerce) n’appartient pas à notre communauté.
Furûc ul-Kâfî/vol.5/p.160