قالَ رَسُولُ اللهِ صلّى الله عليه وآله وسلم :
إذا كانَ أُمَراؤُكُمْ خِيارَكُمْ وَأَغْنِياؤكُمْ سُمَحائَكُمْ وَأَمْرُكُمْ شُورى بَيْنَكُمْ فَظَهْرَ الارْضِ خَيْرٌ لَكُمْ مِنْ بَطْنِها، وَإذا كانَ أُمَراؤُكُمْ شِرارَكُمْ وَأَغْنِياؤُكُمْ
بُخَلائَكُمْ وَلَمْ تَكُنْ أَمْرُكُمْ شُورى بَيْنَكُمْ فَبَطْنُ الارْضِ خَيْرٌ لَكُمْ مِنْ ظَهْرِها.
منهج الصادقين / 2 / 373
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Si vos gouverneurs sont de bonnes personnes, si vos riches sont des personnes généreuses et si vous consultez à propos de vos affaires, se trouver sur la terre est meilleur pour vous que de
se trouver sous la terre (c’est-à-dire : dans ce cas, il est préférable pour vous de vivre que de mourir) ; mais si vos gouverneurs sont de mauvaises personnes, si vos riches sont des personnes
avares et si vous ne consultez pas à propos de vos affaires, se trouver sous la terre est meilleur pour vous que de se trouver sur la terre (c’est-à-dire : dans ce cas, il est meilleur pour vous
de mourir que de vivre).
Minhâdj ul-Sâdiqîn/vol.2/p.373
قالَ رَسُولُ اللهِ صلّى الله عليه وآله وسلم :
ما شَقى عَبْدٌ قَطُّ بِمَشْوَرَة وَما سَعَدَ بِاسْتِغْناء بَرَأْي
نهج الفصاحة / 533
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
La personne qui consulte à propos de ses affaires n’échoue jamais et celle qui s’obstine dans son idée ne réussit jamais.
Nahdj ul-Fasâha/p.533
قالَ الامامُ اَميرُ الْمُؤمِنينَ عَلِيٌّ عليه السّلام :
مَنْ شَاوَرَ ذَوِيَ الْعُقُولِ اِسْتَضَاءَ بِأَنْوارِ الْعُقُولِ
غرر الحكم / 336
L’E'mir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La personne qui consulte les sages sort de l’obscurité grâce à leur sagesse.
Ghurar ul-Hikam/p.336
قالَ الامامُ اَميرُ الْمُؤمِنينَ عَلِيٌّ عليه السّلام :
مَنْ شَاوَرَ ذَوِيَ الالْبابِ دَلَّ عَلَى الرَّشادِ…
بحار الانوار / 75 / 105
L’E'mir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Si une personne consulte des penseurs, cela provient de la maturité de son esprit.
Bihâr ul-Anwâr/vol.75/p.105